Roman de Philippe Besson
Paul Bruder et Thomas Spencer sont nés le jour où une bombe atomique fut larguée sur Hiroshima, le 6 août 1945. Voisins depuis leur plus tendre enfance, ce hasard va les rendre plus qu’amis, presque jumeaux. Rien ne peut les séparer durablement, pas même les premiers flirts ni leurs idées politiques divergentes, sauf Claire. L’arrivée de cette jeune fille va bouleverser la vie des deux jeunes gens à un point qu’ils n’avaient pas soupçonné…
Très sobre, ce petit roman à l’écriture fluide qui se lit en une journée porte en lui une telle force que son souvenir restera longtemps ancré dans l’esprit du lecteur.
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Archive journalière du 28 mai 2009
En plus de notre escapade de deux jours à Ouessant, nous sommes allées voir une amie d’une amie à Arradon près de Vannes, nous nous sommes rendues à Pont-Aven, la cité des peintres, nous avons marché sur des sentiers côtiers le long du Belon et au bord de l’océan, et nous avons beaucoup lu et flemmardé, Monique a bricolé et j’ai un peu écrit. J’ai très peu pensé au boulot, même si j’ai relevé mes mails tous les deux jours et rappelé des clients qui avaient laissé des messages sur mon téléphone portable.
Bref, les vacances tirent à leur fin mais elles furent bénéfiques ; nous n’avions pas pris deux semaines d’affilée depuis 2004 et je dois dire que cela fait vraiment du bien, même si j’aime mon travail et que la perspective de la reprise ne me met pas de méchante humeur.
Avec un peu de chance, nous recommencerons à l’automne…
Roman de Jean d’Ormesson
Comme dans ses derniers livres, Jean d’Ormesson ne raconte pas une histoire dans celui-ci, mais aborde les sujets qui lui sont chers : la création du monde, le temps et l’espace, notre place dans l’univers, etc. On a donc une impression de déjà lu et cela peut ressembler à de la ratiocination… Mais on pardonne volontiers à l’auteur de nous servir un plat réchauffé parce que, malgré tout, c’est diablement bien écrit ! Arrivée à la dernière ligne, une seule réflexion m’est venue à l’esprit, pour paraphraser d’Ormesson : « C’est épatant ! ».
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