Ce soir, j’ai fait grâce au GAM, qui présentait La Chanson du Mal-Aimé, le poème de Guillaume Apollinaire rendu populaire par Léo Ferré, un saut en arrière de 35 ans. Adolescente rebelle, j’écoutais alors Léo Ferré en boucle et parce que cela agaçait ma mère, je récitais ses textes que je connaissais par cœur en la regardant compter les liasses de billets de banque de son tiroir-caisse…
Puis j’ai fini de grandir, j’ai trouvé un boulot, me suis mariée, fait un enfant. J’avais rangé tous mes disques de Léo l’anar dans un carton. Ce soir, tout est remonté à la surface…
Pour lire le compte-rendu du spectacle, cliquer sur l’onglet « Spectacles » ou sur http://www.toutnancy.com/generation-v2/index.php?first=1&iddom=2&idpage=137852&t=GAM%20:%20Léo%20Ferré.
Pas de droits sur l'album 82523
0 Réponses à “Léo Ferré par le GAM”