Au printemps, le changement d’heure, tant attendu, n’en est pas moins redouté pour l’heure sacrifiée au sommeil. A l’automne, malgré la perspective peu réjouissante de l’hiver et de ses longues nuits, on se réjouit de profiter d’une heure supplémentaire de sommeil. Quand on en consomme peu, chaque heure supplémentaire est un délice !
Hier soir, au moment de nous coucher à 2h30, Monique s’écria :
- C’est vrai qu’à l’heure d’hiver, il n’est que 1h30 !
Je me redressai sur un coude.
- Ah oui ?! Qu’est-ce qu’on fait, on se relève !
Pour une fois qu’on se couchait « tôt », on fit preuve de bon sens…
Le lendemain matin, lorsque j’ouvris un oeil à 9h30, je réalisai qu’il n’était en fait « que » 8h30. Ô miracle et délice du changement d’heure d’automne ! Je me retournai et me rendormis jusqu’à une heure avancée de la matinée, voire très avancée !…
il est vrai que le changement d’ heure nous décale un peu !
malgré tout le corps semble réagir en fonction de son horloge biologique et de son biorythme!propre à chaque individu!
j’ ai moi aussi eu la surprise de pouvoir me recoucher après une nuit malade ce fût appréciable!
l’ inconvénient est:
qu’ il fait nuit dés 18h ! le moral est donc pour moi de la couleur du ciel !!!!!!